PAROLE CONTRE PAROLE DANS L'AFFAIRE DU KARACHIGATE ?
Sarkofrance
"...le 2 juillet, Bakchich sort un autre joker : le témoignage de Michel Debacq, un juge envoyé à Karachi au lendemain de l'attentat. Et ce dernier n'est pas tendre avec la thèse d'une vengeance pakistanaise: « aucun élément de renseignement qui accrédite la piste des commissions ». "Cette thèse est une fable". L'ancien juge explique que l'attentat est la conséquence d'une lutte intestine au sein des services secrets pakistanais. Pour preuve, Bakchich rappelle que "88 % des commissions avaient déjà été réglées" en 1995, quand Jacques Chirac décide de cesser leur versement...
Le Karachigate change-t-il de nature ? Bakchich ne (re)nie pas ses premiers propos pour autant, et insiste toujours sur les soupçons de commissions occultes ayant servi au financement de la campagne balladurienne de 1995. L'agence Reuters s'est procuré un courrier du parquet de Paris qui "envisagerait un lien entre une société créée par la DCN au Luxembourg et le financement de la campagne d'Edouard Balladur"..."
lien direct : http://sarkofrance.blogspot.com/2009/07/parole-contre-parole-dans-laffaire-du.html
KARACHIGATE
Recriweb
"...En son temps, un président des Etats-Unis, Harry Truman – bien placé pour en parler –, s’était esclaffé :
"Je regarde réellement avec commisération la grande majorité de mes citoyens qui en lisant des journaux, vivent et meurent en croyant qu’ils ont su quelque chose de ce qui se passait dans le monde à leur époque"..."
lien direct : http://www.recriweb.net/2009/07/karachigate.html
LA MORALISATION POLITIQUE PEUT BIEN ATTENDRE
Le Monde, Caroline Fourest
"...L'affaire de Karachi est tout particulièrement délicate. La piste d'Al-Qaida se dégonfle. D'après le juge d'instruction chargé de l'enquête, les onze ingénieurs français pourraient avoir été victimes de représailles. En raison de rétrocommissions non versées, dans le cadre d'un marché suspecté d'avoir servi à financer la campagne de 1995. Le ministre du budget ayant pu donner le feu vert à cette transaction s'appelait Nicolas Sarkozy. La ministre chargée de la défense au moment de l'attentat de 2002 s'appelle Michèle Alliot-Marie. Elle vient d'être nommée garde des sceaux. Le premier dossier qu'il l'attend concerne la suppression du juge d'instruction...."
lien direct : http://www.lemonde.fr/opinions/article/2009/07/03/la-moralisation-politique-peut-bien-attendre-par-caroline-fourest_1214804_3232.html
KARACHIGATE, ET MOI, ET VOUS, ET EUX... ET LUI
Pire racaille
"...Le rôle des blogueurs est donc de synthétiser, de rassembler les informations. Et surtout d'empêcher cette histoire de s'essouffler devant l'apathie médiatique. La démocratie française moderne fonctionne en montant en épingle certains petits épisodes. À partir d'une pratique vestimentaire ultra-minoritaire de certaines femmes musulmanes, nous nous dirigeons vers un grand débat national sur le sens profond de la République qui risque d'occuper nos ondes pour des centaines d'heures de débats inutiles. Karachigate n'est ni un détail, ni un fait divers, mais, si l'hypothèse la plus probable devait s'avérer, une grave affaire d'État. S'il y a bien des épisodes qui méritent de recevoir toute l'attention dont la machine médiatique est capable, Karachigate en est un...."
lien direct : http://pire-racaille.blogspot.com/2009/07/karachigate-et-moi-et-vous-et-eux-et.html
Sarkofrance
"...le 2 juillet, Bakchich sort un autre joker : le témoignage de Michel Debacq, un juge envoyé à Karachi au lendemain de l'attentat. Et ce dernier n'est pas tendre avec la thèse d'une vengeance pakistanaise: « aucun élément de renseignement qui accrédite la piste des commissions ». "Cette thèse est une fable". L'ancien juge explique que l'attentat est la conséquence d'une lutte intestine au sein des services secrets pakistanais. Pour preuve, Bakchich rappelle que "88 % des commissions avaient déjà été réglées" en 1995, quand Jacques Chirac décide de cesser leur versement...
Le Karachigate change-t-il de nature ? Bakchich ne (re)nie pas ses premiers propos pour autant, et insiste toujours sur les soupçons de commissions occultes ayant servi au financement de la campagne balladurienne de 1995. L'agence Reuters s'est procuré un courrier du parquet de Paris qui "envisagerait un lien entre une société créée par la DCN au Luxembourg et le financement de la campagne d'Edouard Balladur"..."
lien direct : http://sarkofrance.blogspot.com/2009/07/parole-contre-parole-dans-laffaire-du.html
KARACHIGATE
Recriweb
"...En son temps, un président des Etats-Unis, Harry Truman – bien placé pour en parler –, s’était esclaffé :
"Je regarde réellement avec commisération la grande majorité de mes citoyens qui en lisant des journaux, vivent et meurent en croyant qu’ils ont su quelque chose de ce qui se passait dans le monde à leur époque"..."
lien direct : http://www.recriweb.net/2009/07/karachigate.html
LA MORALISATION POLITIQUE PEUT BIEN ATTENDRE
Le Monde, Caroline Fourest
"...L'affaire de Karachi est tout particulièrement délicate. La piste d'Al-Qaida se dégonfle. D'après le juge d'instruction chargé de l'enquête, les onze ingénieurs français pourraient avoir été victimes de représailles. En raison de rétrocommissions non versées, dans le cadre d'un marché suspecté d'avoir servi à financer la campagne de 1995. Le ministre du budget ayant pu donner le feu vert à cette transaction s'appelait Nicolas Sarkozy. La ministre chargée de la défense au moment de l'attentat de 2002 s'appelle Michèle Alliot-Marie. Elle vient d'être nommée garde des sceaux. Le premier dossier qu'il l'attend concerne la suppression du juge d'instruction...."
lien direct : http://www.lemonde.fr/opinions/article/2009/07/03/la-moralisation-politique-peut-bien-attendre-par-caroline-fourest_1214804_3232.html
KARACHIGATE, ET MOI, ET VOUS, ET EUX... ET LUI
Pire racaille
"...Le rôle des blogueurs est donc de synthétiser, de rassembler les informations. Et surtout d'empêcher cette histoire de s'essouffler devant l'apathie médiatique. La démocratie française moderne fonctionne en montant en épingle certains petits épisodes. À partir d'une pratique vestimentaire ultra-minoritaire de certaines femmes musulmanes, nous nous dirigeons vers un grand débat national sur le sens profond de la République qui risque d'occuper nos ondes pour des centaines d'heures de débats inutiles. Karachigate n'est ni un détail, ni un fait divers, mais, si l'hypothèse la plus probable devait s'avérer, une grave affaire d'État. S'il y a bien des épisodes qui méritent de recevoir toute l'attention dont la machine médiatique est capable, Karachigate en est un...."
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